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Pour nos chérubins, le petit-déjeuner et le goûter sont deux repas incontournables. Ce sont aussi souvent ceux qu’ils préfèrent car les enfants sont friands de sucre. Pourtant, même s’ils ont besoin de glucides, il existe de nombreux pièges dans lesquels il ne faut pas tomber, au risque de leur donner de mauvaises habitudes.
L’équilibre alimentaire de leur journée doit être préservé et ce dès leur premier repas au réveil. Les enfants ont besoin de vitamines et de minéraux car leur petit corps dépense beaucoup d’énergie. Voici comment faire rimer saveur, plaisir et repas sain en bannissant ces 4 réflexes de votre quotidien.
Grosse erreur que font de nombreux parents. Le thé n’est pas une boisson qui doit être prise à la légère, et encore moins consommée par des enfants. Tenté de copier les adultes, l’enfant va en réclamer par curiosité mais c’est à vous de ne pas céder. Le thé comme le café contient de la caféine, un excitant qui peut lui causer des troubles du sommeil et un déficit de la concentration à l’école.
Plus séduisants aux yeux des enfants, les gâteaux ont la côte dès le petit-déjeuner. Mais leur apport nutritionnel est très pauvre et l’enfant restera sur sa faim après les avoir mangés. Privilégiez plutôt une classique tartine de pain complet au beurre et à la confiture qui va les rassasier pour la matinée, bien meilleure pour leur santé.
Le verre de lait est un incontournable du goûter et du petit-déjeuner des enfants. Il va assurer leur apport journalier en calcium. Si votre enfant n’est pas adepte du lait, proposez-lui un morceau de fromage ou un yaourt.
S’il insiste pour boire du jus de fruits, préférez le jus d’orange pressé bien frais fait maison plutôt que les jus industriels souvent saturés en sucre et additifs.
Certains parents ont pour habitude, à tort, de faire l’impasse sur cette collation en espérant que leur enfant mangera mieux au repas du soir. Or, le dîner ne doit pas se substituer au goûter qui a son importance propre. Il faut espacer cette collation d’environ 2 heures avec le dîner, pour que l’enfant ait suffisamment faim, mais ne jamais l’annuler. C’est le moment où il décompresse en rentrant de l’école en faisant une pause et en reprenant des forces avec un fruit, un produit laitier et un petit biscuit par exemple.